To be or not to be, that is the questions [ PV : Elipse du Rêve et Etoile du Rêve]

Une discussion continue parvenait à mes oreilles de chasseur. Non,pas une conversation des murmures incessant qui disait les deniers ragots de la forêt. Il y avait des histoires splendide, j'aime me taires pour les écouter et me cultiver.
Du chênes à l'olivier, du plus vieux des arbres à la pousse toutes nouvelles, ils avaient une histoire fantastique à  raconter, mais pour cela il ne fallait pas faire de bruit, c'était la règle qu'il ne fallait rompre. Seul le clapotis de l'eau se faisait entendre, mais le temps se pressait, l'aube ne tarderai pas à ce lever, laissant la conversations je disparue seul dans les méandre obscur de la forêt. Le seul bruit du vent faisait siffler les arbres silencieux du clan de l'automne. Le croassement d'un carpeau se faisait entendre au loin, telle une lamentation de douleur, ce bruit ce frayer un chemin jusqu'à l'obscur forêt. Une goutte de sueur, puit une autre, un frisson me parcourra le dos, pourtant ces bois obscur n'avait pas de secret pour moi, mais là la forêt respirait à peine, les oiseux restait silencieux, on aurai dit que la forêt entière retenait son souffle. Craaac. Surpris je me retourna dans un sursaut. Personne, je huma l'air avec inquiétude, une odeur, à peine discernable....de chat......mélangé à du houx..... quelqu'un se cachait......mais qui ?




Les feuilles tombait telle des larmes, mais la douceur du lieu était rare, toute les feuilles tombait, il en pleuvait, du jaune, du rouge et de oranges jonchait le sol de toutes part. Les arbres se vidait petit à petit de leurs feuilles, de leur progéniture... Comme une mère à son enfant, elle luttait pour garder son fils près d'elle,mais le vent l'emportait, il était en soif d'aventure mais mourrait dans quelque jours. Oui, il partait à la guerre, pour ne plus revenir. Le vent soufflai de nouveau faisant siffler les arbres, telle des cris larmoyant d'une mère pleurant sur la tombe de son enfant. Une larme puis une autre coula sur ma joue,je repensa à mère le jour ou j'étais venue lui dire que mon frère, Murmures de la Forêt, soit mort. Ces cris résonnais encore en moi, une semaine après,elle c'était donné la mort. Je lui en avais voulue, elle n'avait pensé uniquement qu'à elle. Mais je secoua la tête, comme pour enlever le souvenir de ma mère. Puis je repensa au houx, je me retourna vivement et vit une ombre noir et blanche se précipité pour s'enfuir. Toutes griffes sorties et croc bien en vue, je sauta sur l'adversaire et lui arracha un peu de fourrure,mais je compris en un éclair que c'était mon chef, celle d'ont j'étais secrètement amoureux,bien que je ne lui ai jamais dit. Gênée, je m'excusa. Mais elle sembla plutôt contente,elle regarda le ciel avant de dire :